Je vous parlerais volontiers du temps qui passe, lasse, tasse, casse et fait les amours, ce temps dont je manque à nouveau. Ou plutôt, comme me l’a appris une leçon récente, que je remplis inadéquatement.
Je vous parlerais bien de l’inspiration, de l’envie, ou plutôt du défaut de celles-ci et du résultat quand on tente de s’en passer et d’écrire quand même (on reviendra certainement sur le sujet puisque, comme dans les dictons, une règle peut avoir son contraire et il est conseillé aussi d’écrire sans envie mais par discipline).
Je me serais délectée de jouer au jeu du « je te donne des paroles, tu retrouves la chanson », je n’ai d’ailleurs pas résisté à écrire l’extrait que penser au temps qui passe m’a immédiatement mis en tête.
Au lieu de cela, je vais me contenter de vous informer (ou rappeler) que les 4, 5 et 6 octobre a lieu le Festival du Livre de Mouans-Sartoux. Et que vous aurez toutes les informations nécessaires sur leur site.
A bientôt avec Une Plume plus prolixe !
(l’article est court, mais vous vous rappelez ce que l’on dit sur l’importance de la taille…)
« L’art de savoir ne rien faire est une discipline extrêmement laborieuse. » Pierre Léger
😀